SELARL Meimon Nisenbaum Avocats

Spécialistes en droit du dommage corporel

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Meimon Nisenbaum
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Spécialiste en Droit du dommage Corporel
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DU : Victimologie

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Spécialiste en Droit du dommage corporel
Master II Activités de Santé Responsabilité
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Meimon Nisenbaum
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Atrophie (cérébrale - ventricule)

C'est une conséquence fréquente du traumatisme crânien sévère au stade des séquelles. Il peut s'agir d'une atrophie localisée après un hématome, mais aussi diffuse à prédominance corticale ou sous corticale ou les deux.

Elle est très bien mise en évidence par le scanner encéphalique (presque mieux que par l'IRM).

Elle est à considérer en fonction de l'âge.

Ainsi par exemple, au scanner encéphalique, la visualisation symétrique de la corne antérieure des 2 ventricules latéraux au niveau des 2 lobes temporaux sur une coupe horizontale chez un patient jeune âgé de 25 ans par exemple, est un signe d'atrophie.

Bien qu'il n'y ait pas de parallélisme entre l'imagerie et l'examen clinique, l'existence d'une atrophie au scanner pratiqué à distance chez un patient qui a été victime d'un traumatisme crânien sévère dont l'histoire clinique est incontestable (score de Glasgow, oedème cérébral & ) avec preuves apportées du traumatisme crânien (compte rendu d'hospitalisation, les scanners encéphaliques de départ & ) et qui présente des troubles neuropsychologiques , dans ce cas, le scanner constitue une preuve objective de l'existence de séquelles organiques. Mais il est vrai aussi qu'avec les mêmes conditions que précédemment, si le scanner est négatif, ainsi que l'IRM (qui montre davantage des petites lésions), cela n'écarte pas l'existence de séquelles réelles.

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